Commune de Ferreyres

Ferreyres, notre village

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Le vendredi 1er août 2014, notre village de Ferreyres a célébré le 1200e anniversaire (814-2014) de la première trace écrite de son existence (Forrarias).
Un livre, Ferreyres, notre village, fruit d'une aventure exceptionnelle, vécue durant 3 ans par un groupe d’auteurs passionnés d’archéologie, de nature et de la vie des générations passées et actuelles.

En vente au prix de Fr. 56.00 auprès de l'administration communale ou auprès de la société Culture et Loisirs, initiatrice et réalisatrice de cet ouvrage :

Notre écusson

En 1928, Ferreyres s'est doté d'armoiries, tout comme de nombreuses autres communes du canton qui n'en avait pas encore. ces armoiries symbolisent l'origine de son nom par un fer à cheval et s'intitulent"d'azur au fer à cheval d'or, cloué de sable". Tiré du livre "Ferreyres, notre village"

Ferreyres (Forrarias en 825, Ferrieris en 978)

Très ancien village situé à deux km de La Sarraz, sur la rive gauche de la Venoge, Ferreyres est mentionné dès l’an 814 dans le diplôme par lequel l’empereur Louis le Débonnaire donne le village d’Eclépens et le Mauremont à l’église de Sainte-Marie de Lausanne...

Ferreyres (tiré du site web 24 Heures)

Ferreyres tire son nom de «ferraria», qui signifie mine de fer ou forge. Aussi n’est-il pas étonnant que l’on ait mis au jour non loin du village, mais sur les communes de Croy et d’Arnex, dans la forêt des Bellaires, des «ferrières», fourneaux à extraire le fer et que l’on peut visiter. Du IVe siècle avant Jésus-Christ jusqu’au VIe siècle de notre ère, des forgerons alimentèrent leurs fourneaux avec les minces filons de minerai et en charbonnant les immenses forêts du Jura. Si la plus grande partie du territoire appartenait à l’Eglise de Lausanne et aux couvents de Saint-Maurice et de Romainmôtier, Ferreyres et son moulin du Croset seront intégrés à la grande seigneurie de La Sarraz qui s’était constituée. De 1598 à 1818, Ferreyres n’a formé qu’une seule communauté avec La Sarraz. Le chemin des morts rappelle le temps où le cimetière et l’église du village étaient à Saint-Loup. Au bord de la Venoge, au confluent avec la Voualève, a existé une des premières usines électriques du canton dont on peut encore voir la chambre de mise en charge de la conduite forcée. Le 1er janvier 1898, la fée électricité gagnait les villages des environs.